samedi 31 mars 2012

Le temps passe


Et mon silence s’éternise.
N’ayez crainte, je ne vous ai pas oublié. Le rythme de la vie fait tout simplement que je n’ai pu m’occuper sérieusement de partir à la recherche d’un urologue de confiance sur Nice et sa région.
A bien y regarder, je comptais même sur la notoriété de ce site pour en trouver un, mais force est de constater que cette notoriété - bien que naissante - n’est pas encore à l’ordre du jour.
J’ai toujours la possibilité de passer un coup de fil à la gynécologue de ma femme afin qu’elle me dirige vers un de ses condisciples d’Hypocrates.


Allez ! Je le sens. 2012 sera l’année de la stérilisation volontaire ; et j’en profite pour vous la souhaiter aussi bonne que vous aimeriez la vivre.

samedi 3 mars 2012

Stop ou encore ?

"Suis-je sûr de ne plus vouloir d’enfants ?"
La question peut paraître d’une simplicité toute “enfantine” (c’est le cas de le dire) ; mais elle ne demande que 2 réponses finales : oui ou non. Et toute la complexité de cette interrogation réside dans le fait que le candidat à la vasectomie doit estimer (même si ce n’est pas toujours le cas) que cet acte est irréversible.
A cela s’ajoute l’échelle du temps. Ce qui est valable aujourd’hui le sera-t-il demain ? Il est déjà primordial de raisonner au présent. Voici donc ma première analyse de la situation dans laquelle je me trouve et que je ne manquerais pas d’expliciter à l’urologue qui me recevra prochainement pour évoquer mon“désire de vasectomie” comme l’a si bien écrit mon médecin généraliste.
Aujourd’hui ; ma femme et moi sommes-nous absolument certains de ne plus vouloir d’enfants ? La réponse est nette, claire et précise : OUI.

Pourquoi ?
Parce que nous avons passé la quarantaine ; nous avons trois magnifiques enfants ; que cela représente pas mal de travail, de disponibilité et de responsabilités. Que nous aspirons désormais à les voir grandir en toute quiétude avec la meilleure éducation possible, et du temps à consacrer à chacun.
Avoir un enfant supplémentaire annihilerait ces souhaits. Ma femme et moi voulons désormais profiter de notre progéniture, et non plus la subir.
Ces motifs sont-ils valables ? L’urologue me le dira.